7 février 2010
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Le misérable bout de gateau (la miette, oui) que se partagent les vétérinaires de France et de Navarre susicte bien des convoitises : entre les taxes, impôts, pseudo-formations, dîmes, cotisations, ouverture d'une 5e école, augmentation du numérus clausus voir ouvertures des classes prépas aux personnes défavorisées via des quotas et pourquoi pas un concours "light" sans l'épreuve si discriminatoire de français (!) et sans oublier les projets européens et attaliesques, y a encore les éleveurs de bovidés et autres animaux de rente qui voudraient pouvoir se passer de leurs "chers" vétérinaires!
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